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Pléiade de virus affectant les esprits !
Je rencontre Ronsard qui me dit c’est très con
Votre monde monsieur est triste autant qu’abscons
Et dans tous ses excès personne ne contrôle
Si l’acteur au pouvoir a bien appris son rôle.
Vous êtes attaqué par des bêtes infâmes
Montrant au monde entier le plus aigu des drames
Vous n’y pouvez que peu car la fatalité
Fait toujours de qu’elle veut de notre humanité.
Mais je le dis tout net s’il y a un espoir
Le politique n’aura pas grand-chose à y voir
Le scientifique passant tout son temps au labo
Ne mobilise pas des menteurs les micros.
Mais il faudra attendre que le temps qui commande
De quelque solution vienne nous faire l’offrande
Et je vous autorise à révéler votre ire
En déformant mes mots dont le brevet expire.
Hélas en vous masquant la face
Mignonne, vous perdez votre grâce
Le virus porte au désespoir
Il dissimule votre nature
Le masque nie votre figure
Dès le matin jusques au soir
Quand vous serez plus vieille, loin des pestes mortelles,
Et ayant échappée au virus défilant,
Direz, tri vaccinée en vous émerveillant
Pourront-ils mettre un jour virus à la poubelle.
Lors, des nuls politiques évitant les nouvelles,
En laissant l’assemblée, le sénat sommeillant,
Espérez que santé aille se réveillant,
En sachant contourner l’horreur accidentelle
On aura comme toujours trop écouté les sots
Qui n’ayant rien prévu vinrent crier bien haut
Qu’ils allaient tout régler en restant assoupis
Ne trouvant parmi eux pas l’ombre d’un malin
Vivez, fort prudemment en attendant demain:
Mais profitez des roses parfumant votre vie.
Je rencontre Ronsard qui me dit c’est très con
Votre monde monsieur est triste autant qu’abscons
Et dans tous ses excès personne ne contrôle
Si l’acteur au pouvoir a bien appris son rôle.
Vous êtes attaqué par des bêtes infâmes
Montrant au monde entier le plus aigu des drames
Vous n’y pouvez que peu car la fatalité
Fait toujours de qu’elle veut de notre humanité.
Mais je le dis tout net s’il y a un espoir
Le politique n’aura pas grand-chose à y voir
Le scientifique passant tout son temps au labo
Ne mobilise pas des menteurs les micros.
Mais il faudra attendre que le temps qui commande
De quelque solution vienne nous faire l’offrande
Et je vous autorise à révéler votre ire
En déformant mes mots dont le brevet expire.
Mignonne, allons voir si virose
Qui largement nous indispose
Créant ce foutoir sans pareil
Et qui nous cache le soleil
Va finir par désespérer
Et se faire à la fin contrer
Par quelque savant qui s’éveille
Qui largement nous indispose
Créant ce foutoir sans pareil
Et qui nous cache le soleil
Va finir par désespérer
Et se faire à la fin contrer
Par quelque savant qui s’éveille
Hélas en vous masquant la face
Mignonne, vous perdez votre grâce
Le virus porte au désespoir
Il dissimule votre nature
Le masque nie votre figure
Dès le matin jusques au soir
Alors pour réagir, mignonne
Quand le politique déconne
N’écoutez que la faculté
Pour protégez votre jeunesse
De tout vain discours qui agresse
Et vous laisse désorientée.
Quand le politique déconne
N’écoutez que la faculté
Pour protégez votre jeunesse
De tout vain discours qui agresse
Et vous laisse désorientée.
Quand vous serez plus vieille, loin des pestes mortelles,
Et ayant échappée au virus défilant,
Direz, tri vaccinée en vous émerveillant
Pourront-ils mettre un jour virus à la poubelle.
Lors, des nuls politiques évitant les nouvelles,
En laissant l’assemblée, le sénat sommeillant,
Espérez que santé aille se réveillant,
En sachant contourner l’horreur accidentelle
On aura comme toujours trop écouté les sots
Qui n’ayant rien prévu vinrent crier bien haut
Qu’ils allaient tout régler en restant assoupis
Ne trouvant parmi eux pas l’ombre d’un malin
Vivez, fort prudemment en attendant demain:
Mais profitez des roses parfumant votre vie.