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Chevalier de la mer aux vers poétiques Prince maudit de cet immense océan d'enfer Il vogue dans l'errance de ce radeau unique Éreinté par les tempêtes indomptables d'hier
Il n'y a ni maîtrise, ni mesure, ni satiété Dans ses contrées lointaines disparues Origines qui furent méprisées,vilipendées Et aujourd'hui oubliées, souillées et perdues
L'amour,cet Atlantide dont il est orphelin Ce navire royal aux armatures serties d'or A son gouvernail il se sentait géant divin Palais englouti dont il s'en trouve consort
Les roches reluisant ce joyau inestimable d'antan Pacifique émeraude aux espoirs chimériques Procréatrice d'avenir enfoui dans le néant Larmes sortant des naseaux du dragon féerique
Et ces chevaux sauvages harassés par les houles Ces trombes océaniques se cabrant au dessus des flots Un feu de vagues crépite parmi l'immensité des foules Typhon qui aspire et dévore la vision de ces pauvres sots
Il lutte contre ces monstres qui répandent leurs écumes Il rame l'enfant, comme un bambin nu dans sa naissance il trempe ses orteils dans l'eau sordide de l'amertume balayant de vaguelettes le soleil radiant de l'espérance...
mais...
Nénuphar radeau de la grenouille....poésie radeau de celui qui gribouille !!
L'instabilité de ce frêle esquif nous oblige à nous dépasser dans notre lutte contre les assauts de l'humanité
Chevalier de la mer aux vers poétiques Prince maudit de cet immense océan d'enfer Il vogue dans l'errance de ce radeau unique Éreinté par les tempêtes indomptables d'hier
Il n'y a ni maîtrise, ni mesure, ni satiété Dans ses contrées lointaines disparues Origines qui furent méprisées,vilipendées Et aujourd'hui oubliées, souillées et perdues
L'amour,cet Atlantide dont il est orphelin Ce navire royal aux armatures serties d'or A son gouvernail il se sentait géant divin Palais englouti dont il s'en trouve consort
Les roches reluisant ce joyau inestimable d'antan Pacifique émeraude aux espoirs chimériques Procréatrice d'avenir enfoui dans le néant Larmes sortant des naseaux du dragon féerique
Et ces chevaux sauvages harassés par les houles Ces trombes océaniques se cabrant au dessus des flots Un feu de vagues crépite parmi l'immensité des foules Typhon qui aspire et dévore la vision de ces pauvres sots
Il lutte contre ces monstres qui répandent leurs écumes Il rame l'enfant, comme un bambin nu dans sa naissance il trempe ses orteils dans l'eau sordide de l'amertume balayant de vaguelettes le soleil radiant de l'espérance...
mais...
Oh la-la me voilà emportée dans le creux de mon imagination en te lisant ce soir Richard_ des images se dessinent, ton poème est un tableau! J'adore le dernier quatrain et surtout le: " mais..." Bravo
Merci de ce sublime partage _ j'aime beaucoup l'illustration, aussi!
Douce nuit chevalier de la poésie
Amitiés
Isabelle
Quelquefois le poète se sent comme un rat d'eau....mais c'est tellement motivant de se revêtir de l'armure poétique du chevalier quand une dulcinée vous recouvre de ses mots d'encouragements (sourire)
Merci Isabelle