Poème Pré vert (plagiat)

Oh je voudrais tant que tu me reviennes
dans cette liaison qui m'aliène
c'était ma préférée je crois
qu'elle est si vide sans toi

Et chaque fois les heures mortes
se refusent encore de finir
jour après jour dans mes nuits mortes
tu me reviens en souvenir

A des jeux tristes je m'adonne
et des requiems je fredonne
petit à petit je me perds
quand je vois que je t'indiffère

Car chaque jour, les heures mortes
reviennent pour me faire souffrir
égaré dans mes nuits mortes
à bout de souffle, j'expire.

Peut-on savoir quand le printemps
reviendra de la nuit des temps ?
quand je chanterai solitaire
cette chanson dans un pré vert

Cette chanson des amours mortes
cette nuit je veux la finir
et quelques notes qui l'emportent
pour ne plus me laisser souffrir.