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<< Quand tu auras fini de tempêter... >> (Laurence Dauphin)
Il m'arrive souvent de me laisser aller,
Vers la décontraction de mon âme et du corps,
Loin de toute affliction, qui mène au réconfort,
Je dépose ma chair et mes os dans l'allée...
Tandis que mes pensées courent monts et vallées,
Assis dans mon fauteuil je coince un peu la bulle,
Tout en me rinçant l’œil comme un bon funambule,
Devant une télé qui aime à déballer...
Soudain décontracté, j'expulse un ridicule,
Couplet de vents mauvais, qui peut laisser crédule,
Me condamne à jamais au banc des accusés,
Au nez de tout témoin de ce grand déballage,
Sonore et olfactif qui est comme un ancrage,
Dans la vulgarité des êtres récusés...
10 février 2020
Il m'arrive souvent de me laisser aller,
Vers la décontraction de mon âme et du corps,
Loin de toute affliction, qui mène au réconfort,
Je dépose ma chair et mes os dans l'allée...
Tandis que mes pensées courent monts et vallées,
Assis dans mon fauteuil je coince un peu la bulle,
Tout en me rinçant l’œil comme un bon funambule,
Devant une télé qui aime à déballer...
Soudain décontracté, j'expulse un ridicule,
Couplet de vents mauvais, qui peut laisser crédule,
Me condamne à jamais au banc des accusés,
Au nez de tout témoin de ce grand déballage,
Sonore et olfactif qui est comme un ancrage,
Dans la vulgarité des êtres récusés...
10 février 2020
