" Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels sont de purs sanglots" a dit Alfred de Musset et Brassens lui, a chanté :
"Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux"..
Sorgé, votre texte porte tout cela, cette lucidité sur nos souffrances et nos douleurs qui nous poussent à les écrire si elles ne peuvent être dites. Et malgré tout, la rage de nous sentir vivre aux travers de nos émotions et de nos sentiments.
Là est bien un de nos drames humains, être en quête perpétuelle d'un Bonheur et vivre chaque jour à son antipode. Nous l'effleurons parfois du bout du coeur mais ne le possédons jamais, car il n'appartient qu'à la Vie elle-même...
Merci pour la richesse de votre texte.
Bien à vous
Maune