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Rien ne sert de gémir, quoique ...
Ce qui soucie beaucoup d’ humains
C’est qu’ils aiment se reproduire
Ce qui a terme peut induire
Qu’ils seront trop nombreux demain.
Et bien sûr le nombre croissant
Pour vivre pille la nature
Nous finirons sans la verdure
Sans animaux nous nourrissant.
Le bipède peu respectueux
Pollue son environnement
Et il pompe exagérément
Un oxygène défectueux.
Faut-il limiter les naissances
Laisser foisonner les anciens
Ne plus avoir de tolérance
Sur un excédent de terriens
Faut-il faire une dictature
Pour que l’on pénalise tout
Limiter ce qui nuit, partout
Pour avoir une vie future.
Les roseaux pensant que nous sommes
Ont-ils encore quelque cerveau
Pour ne pas conduire au caveau
Par leur sottise tous les hommes.
Certes il fallait une croissance
Mais nul n’a dit croître jusqu’où
Seul Noé a tenu le coup
Mais il décima l’abondance.
Le toujours-plus devient nuisible
On aime l’inutilité
L’abus de l’électricité
Nous fait du progrès belle cible.
Les pouvoirs étant contestables
Les besogneux sont mal payés
Les bavards sont des conseillers
Inefficaces et lamentables.
Aimerions nous quelques lueurs
Afin que le passé nous serve
Et que l’humain avec réserve
De la nature soit protecteur.
Ou bien que la peur générale
D’une proximité de fin
Fasse que notre terre enfin
Soit encore un peu habitable
Chacun se voilant le regard
Dans le règne de l’égoïsme
Subira le cannibalisme
De ceux qui désirent sa part.
Alors vous me direz que faire
Pour sortir de l’enlisement
Pourrait-on politiquement
Fabriquer un monde exemplaire.
Je vous dirais bien je m’en fous
Mais mes descendant malheureux
Auront à devenir peureux
Du futur et ses mauvais coups.
Et mon esprit voit déjà poindre
Une terrible solution
La dictature d’exception
À laquelle il faudra s’astreindre
À moins que le grand architecte
Nous voyant toujours aussi sots
Reparte un matin de zéro
Jugeant son essai incorrect.
On aurait Eve et son Adam
Sans le serpent désagréable
Un équilibre mesurable
Et un chemin moins décadent
D’une sagesse obligatoire
On ferait la fraternité
L’égalité la liberté
Mais cela est une autre histoire.
Ce qui soucie beaucoup d’ humains
C’est qu’ils aiment se reproduire
Ce qui a terme peut induire
Qu’ils seront trop nombreux demain.
Et bien sûr le nombre croissant
Pour vivre pille la nature
Nous finirons sans la verdure
Sans animaux nous nourrissant.
Le bipède peu respectueux
Pollue son environnement
Et il pompe exagérément
Un oxygène défectueux.
Faut-il limiter les naissances
Laisser foisonner les anciens
Ne plus avoir de tolérance
Sur un excédent de terriens
Faut-il faire une dictature
Pour que l’on pénalise tout
Limiter ce qui nuit, partout
Pour avoir une vie future.
Les roseaux pensant que nous sommes
Ont-ils encore quelque cerveau
Pour ne pas conduire au caveau
Par leur sottise tous les hommes.
Certes il fallait une croissance
Mais nul n’a dit croître jusqu’où
Seul Noé a tenu le coup
Mais il décima l’abondance.
Le toujours-plus devient nuisible
On aime l’inutilité
L’abus de l’électricité
Nous fait du progrès belle cible.
Les pouvoirs étant contestables
Les besogneux sont mal payés
Les bavards sont des conseillers
Inefficaces et lamentables.
Aimerions nous quelques lueurs
Afin que le passé nous serve
Et que l’humain avec réserve
De la nature soit protecteur.
Ou bien que la peur générale
D’une proximité de fin
Fasse que notre terre enfin
Soit encore un peu habitable
Chacun se voilant le regard
Dans le règne de l’égoïsme
Subira le cannibalisme
De ceux qui désirent sa part.
Alors vous me direz que faire
Pour sortir de l’enlisement
Pourrait-on politiquement
Fabriquer un monde exemplaire.
Je vous dirais bien je m’en fous
Mais mes descendant malheureux
Auront à devenir peureux
Du futur et ses mauvais coups.
Et mon esprit voit déjà poindre
Une terrible solution
La dictature d’exception
À laquelle il faudra s’astreindre
À moins que le grand architecte
Nous voyant toujours aussi sots
Reparte un matin de zéro
Jugeant son essai incorrect.
On aurait Eve et son Adam
Sans le serpent désagréable
Un équilibre mesurable
Et un chemin moins décadent
D’une sagesse obligatoire
On ferait la fraternité
L’égalité la liberté
Mais cela est une autre histoire.