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Pauvre rose
Je ne reconnais plus les traits de ton visage
Si belle d’antan, tu as perdu ton sourire
Je ressens un danger, comme un mauvais présage
Ô ma douce rose, je vois ton cœur flétrir !
Ils voulaient protéger ton parfum délicat
Ecarter les intrus, préserver ta vertu
Mais hélas ! Ils t’ont trahi ces scélérats
Préférant par profit, la venue d’inconnus.
Un jour, ils ont souillé la terre où tu es née
Apportant avec eux, un abject engrais
Ils n’ont pas l’art de la culture, ces damnés
Les voir près de toi, n’est pas source de progrès !
Ma rose !
Que tu es belle ma rose, reine des fleurs !
Je sens ton parfum si subtil et sensitif
Embaumé l’air, tes pétales, je les effleure
Du bout des doigts, ta beauté, j'en suis attentif !
Tu t'endors aux lueurs du soir crépusculaire
Et quand les rais d’un doux lever matutinal
Te réchauffent, tu souris à l’astre solaire
Mais tu crains fortement l’arrivée automnale !
Que tu es belle ma rose, reine des fleurs !
Tu trônes dans le jardin de ma demeure
Je ne supporterai pas si un jour tu meurs.
Tu es belle ma rose, je fais ton malheur !
J’ai rencontré hier, l’élue de mon cœur
Hélas pour toi, je vais t’offrir, à contrecœur !
Je ne reconnais plus les traits de ton visage
Si belle d’antan, tu as perdu ton sourire
Je ressens un danger, comme un mauvais présage
Ô ma douce rose, je vois ton cœur flétrir !
Ils voulaient protéger ton parfum délicat
Ecarter les intrus, préserver ta vertu
Mais hélas ! Ils t’ont trahi ces scélérats
Préférant par profit, la venue d’inconnus.
Un jour, ils ont souillé la terre où tu es née
Apportant avec eux, un abject engrais
Ils n’ont pas l’art de la culture, ces damnés
Les voir près de toi, n’est pas source de progrès !
Ma rose !
Que tu es belle ma rose, reine des fleurs !
Je sens ton parfum si subtil et sensitif
Embaumé l’air, tes pétales, je les effleure
Du bout des doigts, ta beauté, j'en suis attentif !
Tu t'endors aux lueurs du soir crépusculaire
Et quand les rais d’un doux lever matutinal
Te réchauffent, tu souris à l’astre solaire
Mais tu crains fortement l’arrivée automnale !
Que tu es belle ma rose, reine des fleurs !
Tu trônes dans le jardin de ma demeure
Je ne supporterai pas si un jour tu meurs.
Tu es belle ma rose, je fais ton malheur !
J’ai rencontré hier, l’élue de mon cœur
Hélas pour toi, je vais t’offrir, à contrecœur !