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Sauts de quatrains ? Chagrin !
J’aimerais m’endormir les lèvres en votre cou
Encore émerveillé du sensuel partage
Devenir de l’archer l’indéfectible otage
Avoir le cœur tenu par votre doux licou.
Encore émerveillé du sensuel partage
J’aurais votre parfum en mon songe insistant
Et à tous vos velours n’étant plus résistant
Vénus m’inciterait à un nouvel hommage
J’aurais votre parfum en mon songe insistant
Au point de ne pouvoir sommeiller davantage
Comment ne pas avoir en mon cœur un orage
Quand votre peau satin me grise à chaque instant
Au point de ne pouvoir sommeiller davantage
J’aimerais vous bercer jusqu’à votre réveil
La nuit même à l’amour porte parfois conseil
Et poursuit jusqu’au jour des désirs le voyage.
J’aimerais vous bercer jusqu’à votre réveil
Mais hélas au grand jour s’en vient la vérité
Vous êtes le bonheur d’une irréalité
Et ma terre est bien loin de vous, lointain soleil !
J’aimerais m’endormir les lèvres en votre cou
Encore émerveillé du sensuel partage
Devenir de l’archer l’indéfectible otage
Avoir le cœur tenu par votre doux licou.
Encore émerveillé du sensuel partage
J’aurais votre parfum en mon songe insistant
Et à tous vos velours n’étant plus résistant
Vénus m’inciterait à un nouvel hommage
J’aurais votre parfum en mon songe insistant
Au point de ne pouvoir sommeiller davantage
Comment ne pas avoir en mon cœur un orage
Quand votre peau satin me grise à chaque instant
Au point de ne pouvoir sommeiller davantage
J’aimerais vous bercer jusqu’à votre réveil
La nuit même à l’amour porte parfois conseil
Et poursuit jusqu’au jour des désirs le voyage.
J’aimerais vous bercer jusqu’à votre réveil
Mais hélas au grand jour s’en vient la vérité
Vous êtes le bonheur d’une irréalité
Et ma terre est bien loin de vous, lointain soleil !