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<< SUR LA PLAGE D'ARGENT... >>
La lumière a repris son visage en couleurs,
Sur la plage d'argent où la mer se retire,
La fraîcheur des esprits en ce lieu Ô m'attire,
Dans un vent apaisant où s'enfuient mes douleurs.
Tous les nuages blancs ont dissipé mes pleurs,
Sitôt qu'ils ont laissé le soleil s'introduire,
La douceur d'un p'tit blanc pour lequel je chavire,
S'en vient me délasser de mes stupides peurs.
Les corps en coquillage au silence de nacre,
Apportent au décors une ambiance de sacre,
D'un élégant support à mon confinement.
Je m'évade béant, face à ce paysage,
A l'abri des regards et de tout commérage,
Le ressac de la vague ondule lentement.
24 mars 2020
La lumière a repris son visage en couleurs,
Sur la plage d'argent où la mer se retire,
La fraîcheur des esprits en ce lieu Ô m'attire,
Dans un vent apaisant où s'enfuient mes douleurs.
Tous les nuages blancs ont dissipé mes pleurs,
Sitôt qu'ils ont laissé le soleil s'introduire,
La douceur d'un p'tit blanc pour lequel je chavire,
S'en vient me délasser de mes stupides peurs.
Les corps en coquillage au silence de nacre,
Apportent au décors une ambiance de sacre,
D'un élégant support à mon confinement.
Je m'évade béant, face à ce paysage,
A l'abri des regards et de tout commérage,
Le ressac de la vague ondule lentement.
24 mars 2020
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