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(texte légèrement modifié)
Szonja avait le teint pâle comme la mort,
Son corps gisait au sol dénudé et livide.
Le coeur ne battait plus quelqu'un buvait son fluide,
Un silence régnait, il était le plus fort.
Elle avait succombé à ce sinistre sort,
La belle et douce fille était blonde et candide.
Deux petits trous au cou, juste à la carotide,
Dénonçaient un démon, caché en contrefort.
Il observait la scène, Ô lente mutation,
Sans éprouver de joie fuyant l'absolution.
Il marmonnait tout bas, un langage inconnu,
Ce voleur d'âmes bleues, sans reflet dans l'étang
Qui fut un jour vivant, mais aujourd'hui perdu,
Condamné à tuer pour se nourrir de sang.
Son corps gisait au sol dénudé et livide.
Le coeur ne battait plus quelqu'un buvait son fluide,
Un silence régnait, il était le plus fort.
Elle avait succombé à ce sinistre sort,
La belle et douce fille était blonde et candide.
Deux petits trous au cou, juste à la carotide,
Dénonçaient un démon, caché en contrefort.
Il observait la scène, Ô lente mutation,
Sans éprouver de joie fuyant l'absolution.
Il marmonnait tout bas, un langage inconnu,
Ce voleur d'âmes bleues, sans reflet dans l'étang
Qui fut un jour vivant, mais aujourd'hui perdu,
Condamné à tuer pour se nourrir de sang.
Le 01/05/2021
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