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Tous les chants d’appeaux
L’amour chatoie et vole
En exil souverain
Étole
Sur un fatum serein.
Âme, quel pouls te vainc ,
Quand l’airain te courtise
Hautain,
Fend le cœur et le grise ?
Comme un bourreau qui brave
A ses pieds un mourant,
Il grave
Pour un conteur plus franc.
Tance les coeurs babioles
Qui aiment à fleur d’eau
Oboles
Pour tous les chants d’appeaux.
Mais danse dans la nuit.
La forêt éclairante.
Bénit,
La terre bien-disante.
Seul l’orgueil en ornière
Bat le verbe au rabais,
Barrière
Que l’encre apprivoisait.
L’amour chatoie et vole
En exil souverain
Étole
Sur un fatum serein.
Âme, quel pouls te vainc ,
Quand l’airain te courtise
Hautain,
Fend le cœur et le grise ?
Comme un bourreau qui brave
A ses pieds un mourant,
Il grave
Pour un conteur plus franc.
Tance les coeurs babioles
Qui aiment à fleur d’eau
Oboles
Pour tous les chants d’appeaux.
Mais danse dans la nuit.
La forêt éclairante.
Bénit,
La terre bien-disante.
Seul l’orgueil en ornière
Bat le verbe au rabais,
Barrière
Que l’encre apprivoisait.
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