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Peu importe ce qu'ils sont ou ce qu'ils voient
Car ils ne voient pas ce que je vois et ce que j'ai vu
Qu'importe leurs regards, ces borgnes, ces aveugles
Ces pourris, ces sans cœur que je ne veux plus regarder
Je m'en fiche car ils ne veulent rien comprendre
Ces rats, regarde les se battre comme des chiens
Et ils se disent être civilisés, regarde les se faire du mal
Ils sont dressés pour se mordre au collier
Ça ils savent bien le faire, comme des bêtes éduquées
Leur visage n'est qu'un masque de cire qui fondra
Leur âme sans esprit s'anime d'une voix trop forte
De leur grande bouche ils parlent dans le néant
Ils sont pitoyables mais je ne les hais pas
Même si sous leurs pieds la terre se noircit
Ils sont laids, morts, vides et creux, de leurs yeux noirs
ils pleureront un jour de n'avoir vu tes yeux
Chèvres galeuses qui se transforment en loups cruels
ils hurleront de douleur un jour de n'avoir écouter ta voix
Ils ricanent comme des hyènes puantes
ils seront écrasés comme des insectes nuisibles
Leur égocentrisme à croire être le centre du monde
Ils se prennent pour des pédants royaux
Marionnettes déguisées en princes de pacotilles
Valets de leur propres leurres, bavant leurs mensonges
Ils me font rire car un jour ils s'étonneront
et ils pleureront de ne t'avoir jamais cherché
Ces pantins de bois qui brûleront dans leur haine
Je ne les hais pas mais un jour....ils comprendront
qu'ils ont eu tort de ne pas t'aimer.....
Car ils ne voient pas ce que je vois et ce que j'ai vu
Qu'importe leurs regards, ces borgnes, ces aveugles
Ces pourris, ces sans cœur que je ne veux plus regarder
Je m'en fiche car ils ne veulent rien comprendre
Ces rats, regarde les se battre comme des chiens
Et ils se disent être civilisés, regarde les se faire du mal
Ils sont dressés pour se mordre au collier
Ça ils savent bien le faire, comme des bêtes éduquées
Leur visage n'est qu'un masque de cire qui fondra
Leur âme sans esprit s'anime d'une voix trop forte
De leur grande bouche ils parlent dans le néant
Ils sont pitoyables mais je ne les hais pas
Même si sous leurs pieds la terre se noircit
Ils sont laids, morts, vides et creux, de leurs yeux noirs
ils pleureront un jour de n'avoir vu tes yeux
Chèvres galeuses qui se transforment en loups cruels
ils hurleront de douleur un jour de n'avoir écouter ta voix
Ils ricanent comme des hyènes puantes
ils seront écrasés comme des insectes nuisibles
Leur égocentrisme à croire être le centre du monde
Ils se prennent pour des pédants royaux
Marionnettes déguisées en princes de pacotilles
Valets de leur propres leurres, bavant leurs mensonges
Ils me font rire car un jour ils s'étonneront
et ils pleureront de ne t'avoir jamais cherché
Ces pantins de bois qui brûleront dans leur haine
Je ne les hais pas mais un jour....ils comprendront
qu'ils ont eu tort de ne pas t'aimer.....
Une "sainte colère".
La lucidité est cruciale...
Merci pour la vôtre.