Poème Solstice d'Hiver

j'aime les équinoxes aussi et toi ce sont les solstices : il n'y a pas de hasard !

"Voilà. Nous avons franchi le solstice d’été. Et pendant que d’autres célèbrent le jour le plus interminable de l’année… nous allons secrètement nous réjouir du retour des longues nuits. " Méléagant




Waaaaw! C'est l'Orage de Fou en Provence!!! Mon bureau à la fenêtre, je vois tout! Et Beethov, et j'adore!

Il n'y a pas de génie, il y a de l'enthousiasme, de l'amour, un déchirement, un irrépressible besoin de raconter... etc. pas mal d'opiniâtreté à essayer d'écrire alors qu'on est pas terrible et que tout le monde vous en dissuades, du silence assis devant l'écran, et du travail... tiens regardes la différence en 2 ans:

La mécanique des mots

La mécanique des mots et son versant de gestuelles,
Langoureusement agencées en esprit agrivoisé,
Quand de votre Soleil je m'enivre,
Et mes sens emparfumés aux chutes de votre cou,
languissent, passionés, leurs naïves témérités,
Si soudain erraréffiées!
Le long d'inconscients tremblements...
Car la mécanique des mots, disast-je,
Et son versant de gestualité, toujours,
En alchimie d'orfèvre jamais liés,
Inspirent des mal-édictions incan-décentes,
Des serpents refoulés de prime lune bleue,
Englacés dans le jamais-jamais,
Mirroirs ramifiés de passés pétrifiés.
Mais de la mécanique des âmes prisent aux mots,
Et des gestes versifiés aux entrelacs félins,
Accordant à votre orchestre intérieur,
L'art-rythmie qui m'essouffle,
La douceur de votre protocole sensuel,
Rayonne, et mon désir en apnée,
Tremble de votre corps et de votre Chatte-Dorée*.

(*Ndla: c'est un talisman sacré, hein, pas juste une grivoiserie )

Le vin inquotidien

Avide d'une rondade, rêvée pour l'occasion parfaite,
Et désirant soustraire à ma sérénade,
Les Angoisses d'une rêverie malabstraite,
Des engrenages théoriques ramifiés,
A la présence insupportable,
Des stratégies échiquéennes codifiées, encombrées,
Des tourments rampants qu'insinue la vie polypassionnelle:
Mais à cela, je n'oubliai d'ajouter le Vin...
Ce vin à l'absurde déductif,
Et à la persuasion universelle,
Ce vin qui forge de fantasmes les esprits industrieux,
Et fait briller la vacuité des opiomanes,
De ses parures oniriques, de votre matériel solaire,
L'ambiguïté acérée des séduisantes années.
Equivoque hypnotique, Aimantées,
La curiosité d'une étreinte entre les astres,
Physique des fluides, s'écoule le Vin,
Un spasme réceptif,
Aux creux de votre corps,
Le Sablier instantané de votre charme...
Vivre parmi les lignes semble soudain si fade.

(protégés par droits d'auteur) (héhéhé même ceux là! oui oui, j'ai eu un prix pour mon copyright )

Caisse que je suis nunuche : peux-tu m'expliquer " Méléagant " s'il te plaît ?
Pas male le gif

Méléagant n'existe pas, c'est un jeu de mot que Quentin a fait avec le mot Méléagre qui
est un nom mythique.

Méléagant n'existe pas, c'est un jeu de mot que Quentin a fait avec le mot Méléagre qui
est un nom mythique.

Hahahaha! et pardon pour cette suggestion sombre, c'est la suite du texte en fait, même si je ne l'ai pas vraiment écrit encore. c'est vrai que ça fait un joli jeu de mot avec Méléagre

J'ai tenté d'expliquer pour toi Quentin. Pas d'offence ??

Heu non du tout, pas de soucis... Tu sembles pas mal inquiet de mes réactions, non? c'est le quatrième commentaires où tu te préoccupes de ce que je pense... T'en fait pas hein, je sais que j'embrouille un peu les gens avec mon second degré ou mes phrases confuses, (et oui je le confesse, mes petits changements d'humeurs comme tout le monde, que j'essaie toutefois de ne pas montrer ici) mais humour et bienveillance avant tout hein, t'inquiètes pas...
Aller si, confessons nous jusqu'au bout, Je me suis fait un petit râlage dans ma barbe (stress et fatigue du travail aidant) sur le fait que c'était parfois un peu compliqué de se lâcher ici sans offenser personne, mais après tout je peux rester sur des pages de membres qui savent que je ne cherche pas l'embrouille, (juste je suis un peu trop expansif sans faire gaffe) et puis tant pis si on pige pas mes délires. Et pour clouer le bec à ma mauvaise humeur, je me suis rappelé des presque 700 comms envoyés et bien accueilli, et ça n'a pas été difficile de retrouver mon humour sur le champ... Enfin voilà, si quelqu'un avait perçu mon groin-groin de ces derniers jours, veuillez m'excuser.

Et pour en revenir au sujet de base, impoésie, t'en fait pas, je suis pas susceptible. (surtout quand il n'y a aucune offense n'est ce pas... )

Et pour le comm ben merci en fait, parce que je connaissais pas Méléagre et que c'est cool comme mythe, ça m'inspire!